RADIOS ANCIENNES , quelques images pour les collectionneurs de TSF

Récepteur VITUS  Ultra-hétérodyne type B de 1926, 8 lampes.

Le câblage est complexe. Les composants sont de bonne qualité.

La date de construction est visible sur une paroi intérieure: 14 avril 1926.

Appareil très recherché par les collectionneurs.

Le récepteur Radio Vitus Ultrahétérodyne est un appareil prestigieux pour les collectionneurs de TSF.
Vue du VITUS Ultra hétérodyne sans capot de protection.
La technique et la finition sont irréprochables.
Vue du VITUS Ultra hétérodyne avec le capot de protection.

Cette vue générale du câblage intérieur du VITUS montre la grande densité des composants et leur grande qualité qui faisait la réputation de l'appareil.
Vue générale du câblage intérieur du récepteur VITUS Ultra-hétarodyne de 1926.

Haut-parleur à palette vibrante et pavillon de carton, ébénisterie laquée, décor chinois, que les amateurs qualifient de luxueux.

Ce haut parleur à décor chinois était utilisé avec les postes batteries vers 1926.
Haut-parleur pour poste récepteur batterie, toile décor inspiration chinoise. Epoque probable 1926.

Récepteur Gaumont-Elgédyne de 1928 avec haut-parleur Lumière :  bien qu'encombrant, c'est un appareil remarquable par sa technologie très soignée tant électrique que mécanique. Le cadre, le haut-parleur et l'alimentation sont incorporés au meuble.

Récepteur Radio de 1928, marque Gaumont-Elgédyne.
Récepteur Radio de 1928, marque Gaumont Elgédyne.

Quelques vues de l'intérieur du Gaumont Elgédyne.


Récepteur batteries à lampes externes construit par Lagier, à Marseille, vers 1924.


Récepteur batteries Lagier, vers 1926.


L'Omégadyne, poste récepteur en valise, des années 20 du siècle dernier.

Beaucoup de boutons pour les réglages. Les ingénieurs adorent...


Des grilles décors de haut-parleurs d'appareils secteurs en bois des années 30.

On reconnaîtra facilement trois bronzes des appareils de Lagier, le constructeur marseillais:

le grand voilier, les cigales et rameaux d'oliviers, les canots automobiles.

La quatrième grille, en bas à droite, est un fer forgé de Brunet fixée au récepteur à "la rose", vers 1932, pièce très rare tout en placage de noyer, probablement unique en France (enfin, peut-être...)


SONORA  type SF35 de 1936.

Cet appareil, typique de l'époque, est doté d'un superbe cadran très coloré. Dans le câblage du chassis on remarque les résistances au carbone recouvertes de couleurs vives.




PATHE - MARCONI

Le "design" de cet appareil le fait apprécier des amateurs.

La conception de l'entraînement de l'aiguille du cadran est un peu complexe. Les vues intérieures pourraient être utiles aux restaurateurs passionnés.



Récepteur PHILIPS 2524 de 1930.

L'un des premiers postes alimentés par le secteur.

Son aspect sévère ne semble pas l'avoir favorisé auprès des amateurs.

Les vues intérieures montrent la compacité du montage des composants de bonne qualité.


Récepteur L1

Un des tout premiers récepteurs à lampes TM de la Télégraphie Militaire datant de la 1ère guerre mondiale (14/18) en 1917.

Equipé de 6 lampes triodes, c'est l'un des appareils parmi les plus recherchés par les collectionneurs.

Récepteur TSF de la 1ère Guerre Mondiale 14/18, type L1,équipé de lampes triodes TM.
Vue de l'intérieur du récepteur de TSF militaire type L1 de 1917,  1ère Guerre Mondiale.,


Un appareil prestigieux: l'émetteur-récepteur E10 datant de 1918.

Il était utilisé dans les chars, l'aviation et l'artillerie, soit en phonie, soit en télégraphie.

Emetteur-récepteur de TSF de la 1ère Guerre Mondiale 14/18, type E10, équipé de lampes TM.
E10, vue capot ouvert.


Un poste typique du début des années 30:

le CELARD en bois, avec découpe haut-parleur sur thème musical.

La grande ébénisterie assurait une très bonne musicalité.




PHILIPS BF 290 U

Poste bakélite avec un cadran original.

L'entraînement de l'aiguille est toujours un peu complexe.